Les petites fugues – Yves Yersin

Neste excerto, o homem do campo parece saber muito sobre o que vê, e começa a observar e sentir a bicicleta. Escolhemos o fotograma em que ele apalpa o selim. Está cena traz-me a sensação de algo novo, por estrear, algo confortável. Fez-me lembrar as caminhadas de bicicleta que faço em família, todos os anos, nos prados do Alentejo.

Dans cet extrait, l’homme à la campagne semble en savoir long sur ce qu’il voit, et commence à observer et à sentir la mobylette. Nous avons choisi le photogramme dans lequel il touche la selle. Cette scène me donne le sentiment de quelque chose de nouveau, à étrenner, quelque chose de confortable. Cela m’a rappelé les balades à vélo, en famille, que je fais tous les ans, dans les prés de l’Alentejo.

Guilherme Claudino

 

A cena da bicicleta estimula-nos quatro dos cinco sentidos: começa com a visão, enquanto a personagem está a admirar a bicicleta motorizada que acabou de obter; o tato, ao tocar no selim da bicicleta; a audição, quando bate no metal desta; e o olfato, quando cheira o óleo do motor da bicicleta.

La scène du vélo nous stimule quatre des cinq sens: elle commence par la vision, tandis que le personnage admire la mobylette qu’il vient d’obtenir; puis c’est le toucher, en touchant la selle de la mobylette; l’ouie, quand il frappe sur le métal; et l’odorat, quando il sent l’huile à moteur de la mobylette.

André Pissarra

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