Commentaires sur : Coppola, Godard et Tati quanti http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2009/05/17/coppola-godard-et-tati-quantti/ Un site utilisant Réseau Blogs de la Cinémathèque française Thu, 31 Dec 2015 10:24:44 +0000 hourly 1 Par : Tietie007 http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2009/05/17/coppola-godard-et-tati-quantti/#comment-640 Tue, 21 Sep 2010 04:14:39 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=130#comment-640 Curieusement, je n’ai jamais regardé Pierrot le Fou, qui est pourtant dans ma Dvdthèque … Mais après le superbe Mépris et le délicieux Made in USA, il serait temps d’aller voir Pierrot !

]]>
Par : Question ! http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2009/05/17/coppola-godard-et-tati-quantti/#comment-639 Sat, 23 May 2009 19:15:39 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=130#comment-639 Bonjour,
Nouvelle vague ! Un hommage, une commémoration ? Vue à travers des comédiens tels que Jean-Pierre Léaud, Anna karina, Jean-Paul Belmondo… et … et … et bien d’autres… partenaires si talentueux des cinéastes !
Sophie

]]>
Par : Serge Toubiana http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2009/05/17/coppola-godard-et-tati-quantti/#comment-638 Sat, 23 May 2009 09:40:24 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=130#comment-638 Un hommage à Alain Delon a déjà été rendu à la Cinémathèque française, dans les années 90. C’était à Chaillot, à l’époque où Dominique Païni dirigeait la Cinémathèque. Cela m’avait donné l’occasion de faire un excellent entretien avec Alain Delon pour les Cahiers du cinéma, en compagnie de mon ami Thierry Jousse (Avril 1996, n° 501). J’en garde un souvenir précis et exaltant, car Delon avait été formidable. S.T.

]]>
Par : Vince Vint@ge http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2009/05/17/coppola-godard-et-tati-quantti/#comment-637 Sat, 23 May 2009 09:24:31 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=130#comment-637  » (…) restauration, projetée à Cannes samedi dans le cadre de « Cannes Classics », en présence de Anna Karina. Camille Blot-Wellens (Cinémathèque) et Béatrice Valbin-Constant (…)  » (ST)
Et Godard ? L’aviez-vous convié à cette projection ? (Bon, je sais l’homme pas facile, le Maître de Rolle se fait saint Jérôme, ou  » JLG l’Ermite « ).
 » Pierrot le Fou « , c’est mon Godard préféré, avec  » Le Mépris « ,  » Alphaville « ,  » Vivre sa vie « .
Et  » Nouvelle Vague « . Avec Delon.
Entre nous, pour ce dernier, quel dommage qu’il ait refusé le Johnny To ( » Vengeance « ) et qu’il se soit ainsi privé d’une montée des marches, en fanfare (c’est une star toujours populaire), à Cannes. Alain Delon a choisi de se faire Alain Deloin sur la Croisette, on ne l’a pas vu non plus, sur la côte azurée, au gala de l’amfAR, le dîner le plus cher du monde qui se tenait à l’hôtel du Cap pour l’amfAR, la fondation de lutte contre le sida mise sur pied par Elizabeth Taylor, en partenariat avec le magazine ‘Vogue’.
Nouvelle Vogue manquée pour Monsieur Delon, que l’on doit désormais appeler… Arlésienne Delon ?
Comment se fait-il qu’un acteur, si grand autrefois, ayant tourné avec des pointures du calibre de Melville, Losey, Clément, Antonioni, Visconti et tutti quanti, puisse être passé à côté d’un cinéaste asiatique si talentueux, Johnny To ( » The Mission « ,  » Election « …), leonien en diable.
Ne sait-il plus lire un scénario ?
Ne veut-il plus se fatiguer physiquement ? (Costello, C’est un rôle physique)
Ne fait-il pas confiance ?
Un acteur-star comme ça, il pourrait « capitaliser » sur son statut de star internationale, camper chez Sofia Coppola, Johnny To, s’inviter chez Tarantino, John Woo ou encore, je sais pas moi, HHH, et puis rien. Dommage. Ce battant, ce borsalino, ce gitan, ce gamin des rues, cet aventurier, ce félin, ce guépard, ce sicilien, cet homme pressé, cet insoumis, ce plein soleil, ce grand fusil, ce Big Gun (fighter), ce samouraï, ce rocco sans ses frères, ce Monsieur (Klein), ce soleil rouge, cette tulipe noire, ce Zorro aurait-il définitivement ranger au placard son fier destrier et ainsi décidé de rejouer à l’infini  » l’Eclipse  » ? Son seul film actuel, c’est  » Il était une fois Alain Delon « , c’est ça ??

Certes, la pénombre pour une star, c’est  » bankable « , l’absence crée le désir et  » l’absence présente  » est un bon crédo pour se rendre mythique, pour autant, une star,  » lumière qui irradie de l’intérieur  » (selon Jeanne Moreau), doit aussi repasser dans la lumière de temps en temps. Cf. une Jeanne Moreau par exemple, vue chez des jeunes pousses comme Ozon. Elle ose, elle.
Delon n’oserait-il plus ? That is the question.
Delon, le mec qui plaisait autant aux midinettes d’antan qu’aux cinéphiles chevronnés s’étalant sur plusieurs générations, ferait pourtant des merveilles, avec sa  » brutalité féline  » fatiguée, dans le cinéma d’action chinois contemporain, tout en clair-obscur et en fulgurances électriques. Son énergie mélancolique et son économie gestuelle acquise chez Melville – exit ici le cabot des années 80 se fourvoyant dans des polars à la papa, limite réacs – pourraient pourtant encore faire des merveilles au Pays du Sourire ou du Soleil-Levant, qu’il soit rouge, tel un cercle, ou noir comme une tulipe.
A condition que celle-ci ne soit pas fanée, et virant au chrysanthème.

Qu’il se rassure le bel Alain, c’est lui, le vrai Jeff Costello, c’est lui qu’on aurait préféré voir dans le Johnny To à la place de Hallyday (n’en déplaise aux fans du rockeur-vieux lion), pour autant les années passent, et Delon qui pourrait redorer son blason en s’infiltrant chez John Woo ou Tsui Hark (voir Besson, au pire !), n’a pas l’idée de jouer à l’exil pour mieux renaître de ses cendres chez nous. Pourquoi n’appelle-t-il pas, cash, Tarantino pour le ressusciter ? Ce Kwentine, le Maître postmoderne de la Cité des Anges, a rescussité Pam Grier, John Travolta, Bob Forster, Mickey Rourke – rien que ça. Et pourquoi pas Delon, hein ?!
Alain Delon incarne le divertissement (Allégret, Giovanni, Deray, Lautner, Tessari, Verneuil…) et l’art (Antonioni, Cavalier, Malle, Losey, Jessua, Blier, Godard…), ou les deux (Melville en serait la quintessence); et tous ces cinéastes-là, à savoir les modernistes citationnels et les asiatiques contemporains, pourraient aisément participer à revivifier la mythologie personnelle de Mister Delon. Oui, comment se fait-il qu’un immense acteur qui a su tourner avec les auteurs les plus importants de ces cinquante dernières années puisse passer à côté des cinéastes hyper talentueux d’aujourd’hui ?
C’est la question que je me pose, un Panama vissé sur la tête et un Jacky Daniel’s en mains. Avec, en pensée, Alain Deloin…

(PS : S. Toubiana, à quand une rétrospective-hommage Delon à la Cinémathèque ? Faut le réveiller bon sang !!!!!)
Tiens, en parlant de  » Nouvelle Vague « , eh bien bon anniversaire à la Nouvelle Vague : 50 printemps au compteur et toujours verte et fraîche, ça se fête.
Et joyeux anniversaire à Jacques Tati, frais comme un pinson malgré ses 102 ans.

]]>
Par : Serge Toubiana http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2009/05/17/coppola-godard-et-tati-quantti/#comment-636 Fri, 22 May 2009 16:16:59 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=130#comment-636 Non, je n’ai pas de nouvelle. Le mieux serait de se renseigner auprès des Cahiers du cinéma. S.T.

]]>
Par : Stéphane http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2009/05/17/coppola-godard-et-tati-quantti/#comment-635 Wed, 20 May 2009 08:26:19 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=130#comment-635 bonjour, avez-vous des informations sur l’avenir des Cahiers du cinéma, une question qui doit immanquablement se poser à Cannes, en cette année de rachat par un éditeur britannique. merci de votre réponse, S

]]>