Archives de l’auteur : Istituto Carlo Urbani B

Repérage pour le film-essai

Chers amis,
voilà quelques photos de repérage pour le film-essai.
On a cherché à travailler, à propos du secret, sur nos lieux, en imaginant quelque chose de mystérieux qui les concerne. Le bois nous a beaucoup suggéré…


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3 B – photos de tournage

Chers amis,
Voilà quelques photos de tournage de notre film-essai… un peu de suspense avant les journées de projections de juin :-)

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3 B – exercices d'analyse de séquences

Pendant ces mois, et pendant que les exercices avaient lieu, on a reservé peu de temps pour travailler plus profondement sur les extraits qu’on a vu.

Donc, nous avons produit des analyses écrites de quelques séquences qu’on a vu et commenté en classe. Voilà on vous en montre une petite sélection.

BIBI (« Der Sieben Kontinent », Michael Haneke, 1987)

Dans cet extrait le réalisateur nous montre le réveil e le petit déjeuner d’une famille, mais en décrivant tout par des détails de la maison et des pérsonnages. Au début, voyons la montre et tout de suite il y a des pieds d’une femme avec des chaussons; on a une scène ou l’homme se lève; après on nous montre le détail de la poignée de la porte ouverte par l’homme. Haneke nous montre très clairement les détailles de la maison et des acteurs, en nous faisant deviner quel est son bulot. On voit, par exemple, l’homme qui lace ses soulier avec une certaine élégance, ou quand il ferme sa bourse, on comprends qu’il travaille dans un bureau. Par des détails on peut communiquer des choses sur la personne qu’on nous montre.

ANTHONY (« The aviator, Martin Scorsese, 2004)

The aviator c’est un film réalisé par Martin Scorsese en 2004. le protagoniste (Leonardo Di Caprio) joue le rôle de Howard Hughes, une personne très particulière, pleine de complexes. Dans l’extrait, la présence des photographes donne ainsi de problèmes a M. Hughes. Le point que je préfère c’est le cadre dans le quel il casse l’ampoule, qui m’a donné son sens d’oppression parmi toutes celles personnes. Plus ou moins comme un joueur de foot qui est en train de tirer un penalty dans un stade avec milliers de personnes.

ERIKA (Blackmail, Alfred Hitchcock, 1929):

Dans l’extrait du film de Hitchcock, Blackmail, on utilise très souvent le montrer/cacher. On peut le trouver tout au début de la scène, lorsque l’homme traîne la femme hors champ, pour la violer. Mais le réalisateur décide de nous montrer que ses ombres. Dans le cadre suivant, on les voit bouger derrière un rideau où l’agression continue et on voit le rideau bouger tout vite. Peu après on voit la main de la fille qui cherche un objet pour se défendre, en trouvant un couteau sur la table. Le mouvement du rideau s’amoindrit doucement jusqu’à l’arrêt, et quelques instants après on nous montre la main de l’agresseur, mort. La femme sort lentement d’arrière le rideau avec le couteau en fixant un point dans l’espace, se tourne, les yeux tous ouverts, vers la caméra.

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Portraits à facettes – le parcours – #2

Nous avons beaucoup travaillé, surtout avec Francesco, l’intervenant-réalisateur, avec lequel nous avons essayé de réaliser beaucoup de photos. Nous avons fait deux séances de photos.
Nous avons réfléchi ensemble pour choisir les photos les meilleures pour chacun de nous.
A la fin, on a élu les portraits les meilleurs. Ce sont Massimo, et Tiziano qui ont gagné !

MASSIMO

TIZIANO

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Portraits à facettes: le parcours – partie #1

Après un long mois de travail, nous avons enfin rassemblé et sélectionné les photos de nos portraits à facettes.
Le processus de préparation à la réalisation de ces portraits a été assez long. Dans un premier temps, pendant le mois de février, nous avons travaillé avec Simone sur le portrait dans le cinéma: comment faire un portrait de quelqu’un par l’image animée ? Ensuite, Francesco nous a initié à la pratique, tout en nous montrant une série de peintures et de photos. Avec Francesco et Simone, nous avons travaillé soit sur le cinéma, soit sur la photographie. L’un et l’autre nous ont apporté beaucoup d’inspiration ainsi que les outils nécessaires pour réaliser nos portraits à facettes. Ce travail a été très utile aussi pour inventer des exercices.
Nous avons fait ce parcours ensemble avec les deux classes. Puis les deux se sont divisées pour réaliser chacune ses portraits, mais il a été très utile de voir et commenter tous ensemble les photographies et les extraits de films.
Parmi ceux-ci, quelques uns nous ont donné de l’inspiration pour réaliser nos propres portraits. En voici un aperçu retracé à l’aide de photogrammes tirés de ces films :

« Bittersweet life » (Kim Jee-woon, South Korea, 2005).
Dans ce film, le réalisateur construit un portrait à facettes, par des cadrages très serrés sur des détails de la jeune fille. De cette façon, on peut retracer le portrait d’un corps par un ensemble de détails.
les jambes

le coté gauche de la figurel’oreilleses mainspour arriver, à la fin, au visage en totalité

« Citizen kane » (Orson Welles, U.S.A., 1942). Avec ce film, on voit comment on peut réaliser un portrait d’un personnage pas seulement par son corps, mais aussi par le lieu. En montrant un personnage, c’est intéressant de montrer aussi les informations qui viennent de son environnement.
Xanadu, l’inimaginable maison de M. Kane
son corps mourant, caché dans le lit
sa main qui tient un objet mystérieux, qui nous raconte…

« The aviator » (Martin Scorsese, U.S.A., 2004). Avec ce film, on voit comment on peut utiliser le détail pour raconter non seulement le personnage, mais aussi pour montrer ses sensations, ses émotions. M. Hughes (Leonardo Di Caprio), le protagoniste dont le film trace un vrai portrait, est un homme qui a beaucoup de paranoia…
Nous le connaissons par sa réactions aux flashs des photos
le détail du flash qui se détruit, ce que Di Caprio voit
la perception de M. Hughes de la foule qui l’attend
« Le septième continent » (Michael Haneke, Autriche, 1987), dont la première partie est entièrement racontée par des détails d’une famille qui se prépare pour sortir. Ce film a été très utile pour comprendre comment on peut raconter une histoire seulement en faisant un portrait à facette de la réalité.



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3 B – Institut "Carlo Urbani" – Acilia, Roma, Italia

Ciao a tutti!!!!

Nous sommes les élèves de l’institut Carlo Urbani de Acilia. Dans notre école on trouve deux curricula: graphique publicitaire et prothésistes dentales. Notre classe est composée par 18 élèves. Voilà nos lieux. Les photos ont été prises par Matei, Erika, Alessandro, Dilshan, Massimo, Valerio et Stefano.

notre école

atelier de prothèse dentale

nous en train de travailler…

nos outils de travail

le gymnase

le parc de Casal Palocco, un quartier à coté où beacoup entre nous habitent

Acilia est un petit quartier avec beaucoup de vert !

Il y a deux ans on a commencé à travailler sur le langage cinématographique avec M. Claudio Tanari notre prof de lettres, en étudiant les mouvements de caméra, les champs, les plans et les formes de montage, jusqu’a l’analyse du film intégral. Cette année on a accepté très heureusement de participer au projet « Le cinéma. Cent ans de jeunesse ». C’est un vrai privilège pour des cinéphiles comme nous !

Avec Simone nous avons commencé à travailler sur des extraits et puis avec Francesco on est en train de réaliser les premiers exercices : un portrait photographique ou filmique. Très tôt on vous montrera notre travail.

Nous sommes très heureux de représenter l’Italie et nous espérons de faire une belle figure !

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